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il y a 15 ans

 

"On the Transmigration of Souls" (2002)de John Adams (1947)

  pour orchestre, chœur, chœur d’enfants et sons fixés



"Jacob Collier est reconnu comme l’un des musiciens jeunes plus distinctif, inventif et prodigieux du monde. Basée à Londres, Royaume-Uni, Jacob a été inspiré par de nombreux sons sa musique combine des éléments de Jazz, A cappella, Groove, Folk, Trip hop, musique classique, musique brésilienne, Gospel, Soul et Improvisation ..."

 

 

 

"Le calypso est un genre musical d’origine africaine de Trinidad et Tobago, dans les Caraïbes. 
Le calypso est né des chants responsoriaux et des polyrythmies pratiqués aux carnavals de la fin du XIXe siècle à Port of Spain (capitale de Trinidad). Cette musique accompagnait des joutes dansées (le stickfighting) où les danseurs s’affrontaient avec des bâtons.


 

Structure « calypso Queen »

Instrumental ( tpette )  thème  a-a’ x 2

voix solo   a-a’ x 2   +  chœur   a-a’

Voix solo   a-a’   

Inst a-a’

Voix solo a a’ + chœur a a’ + voix solo a a’+  inst a a’ + solo tbne a a’ x2 + solo guitare a a’

Voix solo a a’ + chœur a a’

Inst a a’

Percussion toujours présente

 

 

répétition du Nisi Dominus (stabat Mater) de Vivaldi pour contreténor (Jaroussky)


Le Canon de Pachelbel (baroque) revisité par Hiromi (jazz)

Vivaldi et Pachelbel sont de la même époque : Le Baroque


 

The Thrill Is Gone de CHET BAKER

 

The thrill is gone
The thrill is gone
I can see it in your eyes
I can hear it in your sight/size
Feel your touch and realize

 

The thrill is gone

The nights are cold
For love is old
Love was grand when love was new
Birds were singing skies were blue
Now it don't appeal to you
The thrill is gone

This is the end
So do I pretend
And made it linger
The thrill is gone
The thrill is gone

 


 

"Projections" de Romare


En pro du « rare groove », le Londonien pioche ses sons dans d'antiques vinyles de blues, de jazz ou de jerk. A l'ancienne, mais terriblement chaloupé.

Chez les producteurs électro, les samples n'ont plus vraiment la cote. Il est vrai qu'au tournant des années 1990-2000 on en a sérieusement soupé de ces échantillonnages de sons à ­tout-va, de ces juxtapositions au kilomètre d'ambiances vaporeuses, simples et faciles copier-coller de vieux disques de soul ou de jazz. Le DJ et « beatmaker » londonien Archie Fair­hurst, alias Romare, n'hésite pas à utiliser encore cette méthode de l'emprunt et de la citation, et pourtant son Projections est une réussite de bout en bout. Question de talent et d'imagination. Il n'a pas choisi par hasard son nom d'artiste : son modèle, le peintre et écrivain Romare Bearden (1911-1988), fut le chantre de l'art afro-américain, mêlant dans ses toiles photos ethnographiques et peinture naïve. Avec ses samples prélevés dans d'antiques vinyles (de jerk, de blues, de jazz...), Projections obéit à cette même règle du collage et de la superposition des images, de l'aller-retour entre le passé et le présent. Nulle facilité ni exotisme bon marché chez Romare. Tous ses morceaux, entre house et « rare grooves », sont incroyablement élégants. Et s'il est très doué pour les ambiances feutrées, il n'oublie pas non plus la danse : des morceaux comme Roots, Rainbow et, surtout, Prison ­Blues ont déjà tout de futurs classiques pour dancefloor. Après seulement deux maxi-vinyles, ce premier album, long et beau témoignage d'amour à la musique noire, tient du coup de maître. — Erwan Perron

 

SOIRÉE PRÉSENTATION D'ALEXANDRE BLOCH

 

Jeudi 15 septembre à 19h Auditorium du Nouveau Siècle, Lille

                            

Entrée libre, sous réserve de places disponibles, sur réservation avant le 8 septembre, sur place, par mail à billetterie@on-lille.com ou par téléphone : +33 (0)3 20 12 82 40